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blog Saint-Etienne & les stéphanois l'autre sainté mag
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1 janvier 2016

racailles de merdes qui puent a firminy

n'empeche que les  2 racailles qu ils ont choppé aurant pas grand choses par le jugeotte d'extreme gauche ( au pire deux mois de prisons nourris loge blanchi au frai de la princesse) alors que le mari de cette dame a du perdre 3 ans d'esperance de vie

je me marre quand j'entends les trous du culs boboide du ps qui osent dire qu il faut plus d'ecoles et moins de prisons

ben non la place d'une racaille c'est dans un bagne ou a la rigueur une balle dans leur tete et bon debaras des merdes ils sont des merdes ils resteront toutes leur vie.

l argent pour les bagnes plutot que de le gaspiller a payer ecole à ses merdes racailliques

Firminy : le mari d’une institutrice agressé dans la rue par deux anciens élèves

Après avoir insulté leur ancienne professeur d’école primaire, les deux agresseurs, aujourd’hui âgés d’une vingtaine d’années, ont passé à tabac son mari avant de s’enfuir.

« Ma femme a été prise pour cible parce qu’elle est enseignante », assure la victime.

Pris en charge par les pompiers, l’homme ne retrouvera ses esprits qu’à 23 heures, sur son lit d’hôpital.

Il souffre d’une fracture ouverte au nez, son visage est tuméfié.

Les ecchymoses prégnantes sur son visage témoignent de la brutalité des coups assénés. Sept jours se sont pourtant écoulés depuis l’agression.

Il est environ 12 h 20, ce jeudi 24 décembre, lorsque la voiture du couple s’immobilise dans la contre-allée de la rue de l’Abattoir, à proximité du musée des Pompiers de la Loire, à Firminy. « Mon mari est resté au volant pendant que je suis allée ranger des paquets dans le coffre, restitue cette enseignante d’une école primaire de Firminy. C’est là qu’ils m’ont interpellée. »

« Il était inconscient, effondré sur la route »

Deux jeunes hommes, âgés d’une vingtaine d’années, reconnaissent leur ancienne professeur des écoles primaires. Elle est copieusement insultée. « Ma femme a été prise pour cible parce qu’elle est enseignante », assure le quinquagénaire. Il sort « calmement » de son véhicule « pour les raisonner un peu ». « On n’insulte pas les personnes dans la rue comme ça… », plaide-t-il. Sans résultat. « Ils cherchaient la provocation et ont continué de proférer les mêmes insultes ». À la demande de son époux, l’enseignante s’éloigne pour aller chercher sa mère avec qui ils ont prévu de passer le réveillon de Noël. « J’ai marché 20 secondes, je me suis retournée, je ne voyais plus mon mari. Il était inconscient, effondré sur la route, les yeux révulsés avec du sang qui lui sortait du nez et des yeux, décrit-elle difficilement. » Pris en charge par les pompiers, l’homme ne retrouvera ses esprits qu’à 23 heures, sur son lit d’hôpital. Il souffre d’une fracture ouverte au nez, son visage est tuméfié. Un examen au scanner permet de chasser les craintes d’éventuelles lésions cérébrales. Hospitalisé deux jours et une nuit à l’hôpital de Firminy, il sera opéré en début de semaine prochaine et devra subir une deuxième opération dans six mois, en cas de problèmes respiratoires. Après un dépôt de plainte, une enquête de police est en cours. Le contenu du rapport du médecin spécialisé pourrait aboutir à l’ouverture d’une information judiciaire. « Nous tentons actuellement d’appréhender les agresseurs », informe le commissariat de Firminy.

La victime, elle, est bien décidée à « faire payer à ses agresseurs cette violence gratuite. Je veux absolument que ces gens-là répondent de leurs actes. Je n’ai pas de haine contre eux, ce sont des abrutis. Leurs cerveaux sont vides. Je ne demande pas de dédommagement, je veux qu’ils paient les frais que leur acte a engendrés. »

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